[juin 1878]
Mon cher Bizot,
Je ne vous écris qu’un mot et encore fort à la hâte.
Je compte partir pour un voyage en Suède vers le 27 juin ; vous voyez combien peu de temps j’aurais à vous voir. Aussi je viens
vous proposer d’ajourner votre visite jusqu’au 15 août.
Vers cette époque nous serons en Suisse et nous serons enchantés de vous offrir l’hospitalité pendant tout le temps que vous
voudrez bien rester à nous.
Croyez mon cher Bizot à mon amitié et à l’ennui que j’éprouve de ne pouvoir vous voir de suite.
Napoléon